Des grillages et des barbelés, des tôles rouillées sur le toit des habitations, des drapeaux suspendus, des pas qui frappent le sol avec force et élégance, tête haute, vêtements colorés, soigneusement ajustés... C’est l’image tout à la fois irréelle, absurde et magique du camp de réfugiés de Balata en Cisjordanie qui a librement inspiré la création de cette pièce chorégraphiée.